Avez-vous manqué les Tradostars ? Hier, l’équipe de Tradosphère, comme chaque année, remettait ses prix en ondes sur CIBL. L’exercice n’a rien de scientifique. La remise de ces statuettes se fait de façon très informelle sinon désopilante. N’en demeure pas moins que l’émission d’hier était fort intéressante. Ils ont proposé une petite rétrospective des albums produits l’an dernier. Parce que je préparais mon émission au moment où les Tradostars étaient remis je n’ai pas eu le temps de noter tous les gagnants bien que j’ai écouté toute l’émission. Je me suis dit que Christiane Campagna sur son blogue http://chroniquestrad.blogspot.com nous présenterait un tableau de tous les récipiendaires. Ben non, elle nous rappelle qu’Yves Lambert va participer au match des étoiles à Radio-Canada (by the way, se trouve-t-il des gars pour regarder ça ?). Des émissions comme celle-là sèment de mauvais projets dans la tête de ma tendre épouse. Ça fait des années que je repousse notre inscription à des cours de salsa. J’ai épuisé toutes les excuses, TOUTES. J’envisage aller chercher un billet du médecin.
Dans la catégorie Simard le Tradostar a été remis aux frères Eric et Simon Beaudry. Ce prix est remis chaque année à celui qui affiche le plus de sex-appeal sur la scène traditionnelle québécoise. Jocelyn Thouin qui a dévoilé le nom des gagnants disait avoir mené un petit sondage auprès des filles de son entourage et toutes lui ont répété que Bernard Simard n’est encore menacé par aucun folkloriste. Il demeure LE sex symbol folk de la province. Ma tante Brigitte que j’avais emmené à la Veillée de l’avant veille l’an dernier croisait Bernard Simard pour la première fois. Après avoir échangé quelques mots avec lui m’a soufflé dans l’oreille, Y é ben beau-lui. Je lui ai dit, Attends un peu de l’entendre chanter, tu oublieras à jamais Richard Séguin.
Vive le net !
Je vous parle à nouveau de l’émission 5 sur 5. Par curiosité j’ai demandé à la journaliste Nancy Desjardins comment elle avait entendu parler de moi. En faisant une recherche sur le net. Elle avait retracé des passages de mon blogue où je parlais de néo-trad. J’ai ensuite demandé à Tanya (téléspectatrice qui posait la question) comment elle en était venue à s’intéresser à la musique traditionnelle. Elle m’a expliqué qu’elle a d’abord «flashé» sur Dégénération de Mes Aïeux et qu’ensuite en faisant des recherches sur le net elle a découvert d’autres artistes davantage identifiés à la musique traditionnelle que Mes Aïeux. N’eut été du net, Tanya n’aurait probablement pas développer un goût pour le trad et Nancy ne m’aurait pas proposé de participer à l’émission. Ben pour dire…
mercredi 9 janvier 2008
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