
Jean-Philippe Kiernan
Déjà le 17 juillet. Dans quelques jours je vais retrouver le micro et mes amis à CFNJ (encore 6 dodos, je compte, je compte). Ce soir à l'émission En filant ma quenouille à CIBL nous recevions Jean-Philippe Kiernan membre de Tu m'en diras tant. Il venait nous présenter le tout premier album de ce groupe originaire de Saint-Michel-des-saints. Je me faisais une joie d'entendre cette production appelée les premières amours. Déception. Jean-Philippe n'avait pas le cd. Pas prêt, paraît-il. Well… Il sera en vente au Festival Mémoire et Racines de St-Charles-Borromée à la fin du mois. Je vous reparle de l'album sitôt que j'en aurai une copie. Ce soir on a entendu qu'un extrait de l'album. By the way, je rappelle aux internautes que l'on peut télécharger une émission à laquelle Tu m'en diras tant avait participé en décembre dernier à CFNJ en cliquant sur leur nom dans la colonne de gauche. L'une des émissions de la série que je préfère. Écoutez attentivement l'oranger, 2ème chanson de l'enregistrement. Le banjo de Jean-Philippe me fait tripper.
Les contes de Stéphanie
Stéphanie Teasdal chaque semaine nous propose un conte à l'émission peu après 20h30. Récemment il a été question de La Corriveau. Stéphanie la connaît bien. Elle a fait un travail à l'Université sur Marie Josephte Corriveau, un personnage qui marque encore notre imaginaire collectif. Elle nous expliquait la semaine dernière que son histoire a fait l'objet de nombreuses études de nature historique, légendaire et littéraire. Des conteurs n'ont pas oublié la tragédie de cette femme que l'on a encagé publiquement après qu'on l'eut pendue pour avoir assassiné ses 2 maris. Une histoire un peu sordide que vous trouverez sur le net et qui a sûrement inspiré un film ou deux, qui a inspiré une pièce de théâtre d'Anne Hébert, un roman de Philippe de Gaspé,… Cette semaine Stéphanie nous présentait un conte sur le bonheur raconté par Joujou Turenne une Québécoise d'origine haïtienne. Le conte était en créole !!! Ce que voulais illustrer Stéphanie par ce conte c'est le caractère universel des contes qui abordent les mêmes thèmes à travers les siècles et les différentes cultures. Je me souviens avoir entendu le conteur Michel Faubert raconté qu'il avait remarqué à la lecture d'un conte africain que les similitudes avec un conte québécois étaient " frappantes ". Il suffit souvent de changer le lion par le loup, disait-il, pour que l'on soit sous l'impression de lire un conte de chez nous.
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